Géraldine Beigbeder

Géraldine Beigbeder est l’une des rares artistes qui dénonce le chaos du monde dans lequel nous vivons.Elle prend à cœur sa mission : utiliser toutes les formes possibles de l’art pour exprimer une vision du monde. Artiste, peintre, écrivaine, scénariste, Géraldine est également curatrice d’expositions, à l’instar des œuvres du célèbre musicien Pete Doherty et de l’acteur Norman Reedus. Géraldine travaille sur l’invisible : montrer ce qui ne se voit pas. Franche et authentique, quitte à déranger certains, ses œuvres sont brutes, instinctives et décomplexées.
Elles reflètent une personnalité bien affirmée, où mieux se connaître soi-même permet d’ouvrir d’autres voies.

Mix de simplicité et de complexité, la lecture des Équations Amoureuses est une ode à cet attachement intense qui lie deux êtres : l’amour. La parole libre de Géraldine Beigbeder pose un regard sur l’amour physique à l’amour spirituel. Un livre ouvert, où le sexe, l’amour se dessine, s’écrit, se sculpté, s’érige… : libre parole de Géraldine Beigbeder qui signe, là, son premier roman autobiographique.

Géraldine Beigbeder est l’une des rares artistes qui dénonce le chaos du monde dans lequel nous vivons.Elle prend à cœur sa mission : utiliser toutes les formes possibles de l’art pour exprimer une vision du monde. Artiste, peintre, écrivaine, scénariste, Géraldine est également curatrice d’expositions, à l’instar des œuvres du célèbre musicien Pete Doherty et de l’acteur Norman Reedus. Géraldine travaille sur l’invisible : montrer ce qui ne se voit pas. Franche et authentique, quitte à déranger certains, ses œuvres sont brutes, instinctives et décomplexées.
Elles reflètent une personnalité bien affirmée, où mieux se connaître soi-même permet d’ouvrir d’autres voies.

Mix de simplicité et de complexité, la lecture des Équations Amoureuses est une ode à cet attachement intense qui lie deux êtres : l’amour. La parole libre de Géraldine Beigbeder pose un regard sur l’amour physique à l’amour spirituel. Un livre ouvert, où le sexe, l’amour se dessine, s’écrit, se sculpté, s’érige… : libre parole de Géraldine Beigbeder qui signe, là, son premier roman autobiographique.